samedi 8 août 2020
Le confinement démontre le mensonge du réchauffement
Très intéressant article de BFM (via l’AFP) qui affirme, selon une étude de Nature Climate Change, que les émissions humaines de CO2 dans l’atmosphère vont diminuer de 8% en 2020 suite au confinement des économies afin de répondre au coronavirus. Un chiffre proche de celui recommandé par l’Accord de Paris (-7,6% par an entre 2020 et 2030), les écologistes devraient être contents ! Surtout, nous devrions observer une inflexion significative de la température de la planète cette année ! Toute la logique de la lutte contre le réchauffement climatique est basée sur cela, baisser les émissions humaines de CO2 afin de limiter la hausse des températures, et nous l’avons fait, involontairement, en 2020, nous devrions donc en constater les premiers effets. Pas du tout nous dit Nature Climate Change, un lobby réchauffiste, il n’y aura aucun effet mesurable sur la température du globe, qui démontre ainsi malgré lui l’arnaque du réchauffement climatique anthropique. Il faut un changement «systémique» et sur plusieurs années... bah voyons. De toute façon il ne peut pas y avoir d’effet mesurable car la quantité de CO2 dans l’atmosphère, elle, n’a pas du tout changé durant cette année 2020, du fait que les rejets humains sont négligeables : «Les émissions de CO2 dans l’atmosphère sont à 97% d'origine naturelle et 3% d'origine anthropique, c'est-à-dire issue des activités humaines» (Wikipedia). Le confinement a apporté la preuve scientifique que les discours réchauffistes sont mensongers, rideau. Il a aussi montré que suivre les délires écologistes mène à la ruine de nos économies et qu’il est urgent d’en sortir.