Cette décision montre l’extrême dangerosité d’inscrire la lutte contre le «dérèglement climatique» dans notre Constitution car, non seulement l'État mettra en œuvre des politiques de lutte contre les émissions de CO2 qui étoufferont notre économie, sabreront notre pouvoir d’achat et restreindront nos libertés, mais en plus n’importe quelle association écolo-gauchiste pourra en rajouter en intervenant devant les tribunaux. S’appuyant alors sur l’article premier du plus important texte juridique français, ceux-ci ne pourront que leur donner raison. On assistera alors à un festival d’exigences, toutes plus liberticides et anti-économiques les unes que les autres, dont les conséquences sont insoupçonnées. Cette décision de justice a du bon, elle laisse entrevoir le délire judiciaire qui s’abattrait sur la France au cas où ce référendum passerait (et elle invite à se débarrasser des textes qui ont permis ce jugement inique). Plus que jamais, nous devons nous y opposer.🎉 #LAffaireDuSiècle est HISTORIQUE : l’inaction climatique de l’Etat est jugée ILLÉGALE !
— L'affaire du siècle (@laffairedusiecl) February 3, 2021
Cette victoire, c’est grâce à vous ! 👏
Restons mobilisé·e·s pour aller➕loin et obtenir de nouvelles victoires. Ensemble nous pouvons faire agir l’Etat concrètement pour le climat ! 👇 pic.twitter.com/jmokn6nqBR
mercredi 3 février 2021
L’Affaire du siècle ? L’escroquerie du siècle plutôt !
Pour la première fois, l'État français est condamné pour son inaction climatique, le tribunal administratif de Paris a reconnu aujourd’hui que l'État a commis une «faute» en ne respectant pas ses engagements de réduction des gaz à effet de serre. Une décision «historique», saluée comme il se doit par les ONG qui intentaient cette action en justice, dont L’Affaire du siècle, qui a aussitôt posté cette vidéo avec ses petits Gardes rouges, ou plutôt verts, fanatisés :