mardi 22 septembre 2020

«La banquise arctique pourrait complètement disparaître d'ici à quatre ans» expliquait Le Monde... en 2012


On nous refait le coup de la disparition de la banquise arctique si l’on en croit Le Monde ou France Info ces jours-ci, sa fonte accélérée étant censée démontrer l’existence du fameux réchauffement climatique. Le problème est que Le Monde annonçait sa disparition «d’ici quatre ans»… en 2012. Soyons sérieux, la banquise arctique est soumise à des fluctuations tout à fait normales, mais elle a au contraire atteint sa plus grande extension depuis 2013 lors de l’hiver 2020 comme l’explique le site climato-realistes.fr. Maintenant, les fluctuations ont évidemment lieu au cours de l’année, en fonction des saisons, et la superficie de la banquise chute l’été pour remonter l’hiver, rien que de très normal, même si les journaux préfèrent se focaliser sur la période estivale afin d’alimenter le catastrophisme. Cet autre article du site climato-realiste.fr détaille ces fluctuations qui, non plus, n’ont rien d’anormales et qui n’indiquent nullement une régression sur les dernières années. Dormez tranquille, les ours polaires ne vont pas se retrouver à dériver sur des gros glaçons.

mardi 15 septembre 2020

Bravo à Trump de remettre en cause le réchauffement !

Les médias sont offusqués, rendez-vous compte, Donald Trump a osé remettre en cause le réchauffement climatique ! Saluons plutôt son courage. Lors de son déplacement en Californie, ravagée par les incendies, il a dit «Ça finira par se refroidir» et «Je ne pense pas que la science sache réellement» (AFP). Exactement. Il a même dénoncé la mauvaise «gestion forestière», qui est réelle et qui accroît le risque d’incendies, comme nous l’avons montré dans notre article précédent. En réalité très peu de chefs d’État dans le monde croient vraiment au réchauffement, ceux d’Europe en font malheureusement partie, mais ceux des pays émergents font semblant d’y croire parce que les pays riches leur promettent des subventions pour lutter contre. Et les dirigeants chinois nous vendent des éoliennes et des panneaux solaires, alors ils encouragent nos lubies… et dans le même temps ils construisent des centrales à charbon. Trump a démantelé la législation favorable au solaire et à l’éolien pour favoriser les énergies classiques, c’est une des raisons pour laquelle les États-Unis connaissent une croissance du PIB plus forte qu’en Europe. Nous devrions plutôt l’imiter, et saluer sa franchise.

vendredi 11 septembre 2020

Non, les feux de Californie n’ont rien à voir avec le réchauffement climatique

Les écologistes exploitent tous les événements qui sortent de l’ordinaire pour nous vendre leur réchauffement climatique, et en ce moment ce sont les feux de Californie, qui en seraient une conséquence directe selon eux, d’ailleurs même le maire de San Francisco l’affirme. Ceci relève pourtant de la propagande : depuis le début du XXe siècle, on ne constate pas d’augmentation des périodes sèches dans l’État américain, et sur le dernier millénaire, on note même des périodes plus chaudes, comme l’explique cet article (et comme nous l’avions noté, l’optimum climatique médiéval invalide le réchauffement climatique anthropique). Pire, la violence de ces feux seraient due en partie… aux écologistes eux-mêmes «qui ont édicté des interdictions de "logging" (exploitation du bois) par les propriétaires», ce qui favorise «l’accumulation de combustibles (bois sec, feuilles, autres matériaux) créant les conditions pour des incendies plus graves et plus incontrôlables» comme l’explique cet autre article. Les écologistes, des pompiers-pyromanes ?

vendredi 4 septembre 2020

Comment l’écologie va tuer la reprise

La France dépense 100 milliards d’euros pour favoriser la reprise, mais au fond ce plan n’a rien d’exceptionnel, depuis les années 70 l’État creuse son déficit soi-disant pour soutenir la croissance, avec les résultats déplorables que l’on sait. Pourtant il existe des solutions pour aider l’économie sans que cela ne coûte un euro. Ainsi l’industrie automobile européenne demande un report des normes de CO2, mais le gouvernement n'en a pas tenu compte. Il faut en effet savoir que la réglementation de l’UE impose aux constructeurs de commercialiser des véhicules particuliers émettant moins de 95 grammes de CO2 par kilomètre, et chaque gramme supplémentaire engendre une pénalité de 95 euros pour chaque véhicule immatriculé. C’est délirant et PA Consulting a évalué les amendes que devront payer les grands groupes européens en 2020 (1 milliard d’euros pour Renault, presque autant pour Peugeot-Citroën). De plus le chiffre de 95 grammes de CO2 est propre à l’Union Européenne, les États-Unis s’en tiennent à 125 grammes et le Japon et la Chine à 122 grammes. L’Europe se tire une balle dans le pied alors qu’elle est encore technologiquement dominante dans cette industrie.