vendredi 31 juillet 2020
Le scandale des éoliennes
Alors que les éoliennes sont présentées comme l'un des outils essentiels de la «transition énergétique», un livre-choc paru en octobre dernier remet les pendules à l'heure : elles vont coûter une fortune (100 milliards d’euros sur 20 ans), sans aucun gain en termes de CO2, elles sont polluantes, elles défigurent nos paysages et elles favorisent la corruption, au secours ! Vous cherchez une idée de lecture pour vos vacances ? Lisez Eoliennes : la face noire de la transition écologique de Fabien Bouglé. Vous pouvez retrouver son auteur en interview sur Sud Radio avec André Bercoff lors de la sortie de son livre.
mardi 28 juillet 2020
Didier Raoult est sceptique sur le réchauffement climatique
Dans cet extrait d'interview sur RMC, le Pr Didier Raoult s'affirme sceptique sur le réchauffement climatique : «Je suis sidéré que ce soit une insulte d'être sceptique, on vit dans un monde de fous». Il affirme justement que «le scepticisme est la nature même des scientifiques», mais combien, dans le domaine du climat, respectent encore ce principe fondamental ?
lundi 27 juillet 2020
L'impossible réduction des émissions de CO2
On lira avec intérêt cet article de l'IFRAP qui montre que la baisse des émissions de CO2 annoncée par le gouvernement suit une «trajectoire invraisemblable». L'IFRAP rappelle opportunément que la France est déjà très peu émettrice de CO2 (notamment grâce à son programme nucléaire) : «Tant que les autres grands pays, souvent nos concurrents, ne se rapprocheront pas du niveau actuel français, nos efforts amélioreront très peu la situation de la planète. Mais ils sont très pénalisants, nos investissements dans l'enseignement supérieur, recherche, développement, application et compétitivité, étant réduits d’autant. De combien sommes-nous prêts à nous appauvrir pour garder le titre de grand pays le moins émetteur de CO2 ?» L'urgence écologique est un mensonge, répétons-le.
L'IFRAP montre ensuite que les politiques mise en œuvre pour réduire ces émissions de CO2 sont totalement contradictoires, notamment la diminution du parc nucléaire, dont on rappelle qu'il n'émet pas de gaz à effet de serre. Bref, la lutte contre le CO2 se résume à des effets d'annonce irréalistes, une politique de gribouille et un appauvrissement général. Il est temps de dire stop.
L'IFRAP montre ensuite que les politiques mise en œuvre pour réduire ces émissions de CO2 sont totalement contradictoires, notamment la diminution du parc nucléaire, dont on rappelle qu'il n'émet pas de gaz à effet de serre. Bref, la lutte contre le CO2 se résume à des effets d'annonce irréalistes, une politique de gribouille et un appauvrissement général. Il est temps de dire stop.
vendredi 24 juillet 2020
Introduire l'environnement dans la Constitution est une erreur
Dans cette courte vidéo (11 minutes), Richard Détente, l'animateur de la chaîne YouTube "Grand Angle", explique pourquoi il est dangereux d'inscrire la lutte contre le réchauffement climatique dans notre Constitution, que l'on croit ou pas à ce phénomène d'ailleurs. Il affirme qu'en cas de référendum, il voterait non, bravo ! À visionner.
jeudi 23 juillet 2020
Des arguments contre le réchauffement climatique
La critique du soi-disant réchauffement climatique anthropique peut se faire à deux niveaux (je reprends ici un article que j'ai publié fin 2018) :
1) Admettons que le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) ait raison, parler d'«urgence» est un mensonge : l’Accord de Paris sur le climat signé lors de la COP21 en 2015 permet à la Chine, à l’Inde et aux pays émergents de continuer à augmenter leurs émissions de CO2 jusqu’en 2030, avec l’engagement non contraignant de commencer à les diminuer ensuite. Les efforts que fera la France, qui ne pèse que 1% des émissions de CO2 dans le monde, seront de toute façon insignifiants et complètement engloutis par cet accroissement.
2) Mais il faut aller plus loin et remettre en cause la réalité du réchauffement climatique lui-même. Rappelons que le principal accusé de ce réchauffement, le CO2, le dioxyde de carbone, dû à la combustion des énergies fossiles, n’est pas un polluant mais la nourriture de la végétation, via la photosynthèse, avec l’eau et les minéraux qu’elle puise dans le sol, sans CO2 il n’y a plus de vie sur terre. En l’espace d’un siècle, le taux de CO2 dans l’air est passé de 0,03% à 0,04%, soit de 3 à 4 molécules sur 10.000 dans l’air que nous respirons. C’est tout. Voici l’objet du délit. Cette augmentation, selon le GIEC, va nous conduire à l’apocalypse, à une hausse des températures de 4 à 5 degrés d’ici 2100, générant toute une série de catastrophes (désertification, montée des eaux, cyclones, etc.). Cette analyse fait l’objet d’un «consensus scientifique» nous dit-on. Mais, comme le fait justement remarquer François Gervais dans son livre (L’urgence climatique est un leurre, Editions l’Artilleur, 2018) : «mettre en avant un consensus est un aveu d’absence de preuve». L’enseignant-chercheur et médaillé du CNRS s’est lui-même livré à une comptabilisation des publications sur le sujet dans le monde et il dénie tout consensus, loin de là. Il n’y a pas de preuve, uniquement les modèles du GIEC dont François Gervais montre, avec d’autres, leur inadéquation avec la réalité observable, leur pessimisme ayant été systématiquement invalidé.
Nous reviendrons régulièrement sur les aspects scientifiques du prétendu «réchauffement».
1) Admettons que le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) ait raison, parler d'«urgence» est un mensonge : l’Accord de Paris sur le climat signé lors de la COP21 en 2015 permet à la Chine, à l’Inde et aux pays émergents de continuer à augmenter leurs émissions de CO2 jusqu’en 2030, avec l’engagement non contraignant de commencer à les diminuer ensuite. Les efforts que fera la France, qui ne pèse que 1% des émissions de CO2 dans le monde, seront de toute façon insignifiants et complètement engloutis par cet accroissement.
2) Mais il faut aller plus loin et remettre en cause la réalité du réchauffement climatique lui-même. Rappelons que le principal accusé de ce réchauffement, le CO2, le dioxyde de carbone, dû à la combustion des énergies fossiles, n’est pas un polluant mais la nourriture de la végétation, via la photosynthèse, avec l’eau et les minéraux qu’elle puise dans le sol, sans CO2 il n’y a plus de vie sur terre. En l’espace d’un siècle, le taux de CO2 dans l’air est passé de 0,03% à 0,04%, soit de 3 à 4 molécules sur 10.000 dans l’air que nous respirons. C’est tout. Voici l’objet du délit. Cette augmentation, selon le GIEC, va nous conduire à l’apocalypse, à une hausse des températures de 4 à 5 degrés d’ici 2100, générant toute une série de catastrophes (désertification, montée des eaux, cyclones, etc.). Cette analyse fait l’objet d’un «consensus scientifique» nous dit-on. Mais, comme le fait justement remarquer François Gervais dans son livre (L’urgence climatique est un leurre, Editions l’Artilleur, 2018) : «mettre en avant un consensus est un aveu d’absence de preuve». L’enseignant-chercheur et médaillé du CNRS s’est lui-même livré à une comptabilisation des publications sur le sujet dans le monde et il dénie tout consensus, loin de là. Il n’y a pas de preuve, uniquement les modèles du GIEC dont François Gervais montre, avec d’autres, leur inadéquation avec la réalité observable, leur pessimisme ayant été systématiquement invalidé.
Nous reviendrons régulièrement sur les aspects scientifiques du prétendu «réchauffement».
mardi 21 juillet 2020
Lancement du site referendumCO2NON.fr
L’heure est grave. La France fait face à de graves difficultés économiques, qui ne datent pas du confinement mais que celui-ci a considérablement aggravées. Mais faut-il en plus se tirer volontairement une balle dans le pied ?
C’est pourtant ce qui risque de se produire, en effet Emmanuel Macron a déclaré lors de son interview du 14 juillet vouloir convoquer «le plus vite possible» un référendum pour inscrire «l'objectif de lutte contre le réchauffement climatique [...] dans notre texte constitutionnel» (regardez son interview à 57'40).
Le réchauffement climatique anthropique (causé par l'homme) n'est pas prouvé scientifiquement et il est démenti par les faits, nous aurons l’occasion d’y revenir largement ici-même. Lutter contre conduit - on le voit déjà - à détruire notre industrie, à renchérir considérablement les coûts de l'énergie, et à dégrader nos paysages avec les éoliennes. C'est un suicide économique qui achèvera de nous ruiner, la «croissance verte» n’étant qu’un mirage.
Il est bien sûr possible qu’Emmanuel Macron abandonne l’idée de ce référendum, mais il semble très décidé, et il pense certainement que ce serait pour lui l’occasion de remporter une victoire après ses échecs aux élections européennes et municipales, et juste avant la présidentielle.
Dès le 14 juillet, j’appelais dans ce tweet à se coordonner pour défendre le non. Lancé exactement une semaine plus tard, le site referendumCO2NON.fr poursuit trois objectifs :
- informer : expliquer le mensonge du soi-disant réchauffement climatique anthropique et le danger de l’inscrire dans notre constitution,
- rassembler : recenser les organisations, personnalités et influenceurs appelant à voter non, et lancer des actions,
- appeler à voter non : toucher au maximum le grand public afin que le non l’emporte.
Mettez referendumCO2NON.fr dans vos favoris, abonnez-vous à sa newsletter, et n’hésitez pas à prendre contact (colonne de droite).
Philippe Herlin, économiste et essayiste
Site / Twitter
C’est pourtant ce qui risque de se produire, en effet Emmanuel Macron a déclaré lors de son interview du 14 juillet vouloir convoquer «le plus vite possible» un référendum pour inscrire «l'objectif de lutte contre le réchauffement climatique [...] dans notre texte constitutionnel» (regardez son interview à 57'40).
Le réchauffement climatique anthropique (causé par l'homme) n'est pas prouvé scientifiquement et il est démenti par les faits, nous aurons l’occasion d’y revenir largement ici-même. Lutter contre conduit - on le voit déjà - à détruire notre industrie, à renchérir considérablement les coûts de l'énergie, et à dégrader nos paysages avec les éoliennes. C'est un suicide économique qui achèvera de nous ruiner, la «croissance verte» n’étant qu’un mirage.
Il est bien sûr possible qu’Emmanuel Macron abandonne l’idée de ce référendum, mais il semble très décidé, et il pense certainement que ce serait pour lui l’occasion de remporter une victoire après ses échecs aux élections européennes et municipales, et juste avant la présidentielle.
Dès le 14 juillet, j’appelais dans ce tweet à se coordonner pour défendre le non. Lancé exactement une semaine plus tard, le site referendumCO2NON.fr poursuit trois objectifs :
- informer : expliquer le mensonge du soi-disant réchauffement climatique anthropique et le danger de l’inscrire dans notre constitution,
- rassembler : recenser les organisations, personnalités et influenceurs appelant à voter non, et lancer des actions,
- appeler à voter non : toucher au maximum le grand public afin que le non l’emporte.
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Philippe Herlin, économiste et essayiste
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